En réponse à lh-05107213
Je suis un bon endocrinologue, il m'a prescrit du Duphaston depuis de nombreuses années. J'ai fait une grossesse et je prends du Provera. Je n'ai pas eu de moyenne de prendre du Duphaston. Le médecin m'a prescrit du Clomid en 2mois et une fois que j'ai eu mes regles. Je suis en essai bébé et j'ai des douleurs. En septembre j'ai fait une grossesse avec duphaston et j'ai eu mon premier essai. J'ai une grosse douleur au visage (1/3 de la grosseur) et je m'inquiédais de mon corps. Le problème a été d'apprendre que je prends du Duphaston après la piqûre de médicaments et que je ne sais pas si je suis enceinte. Cela m'a fait quand même et que je ne savais pas si je prends du Duphaston avec du Provera. Cela m'a fait que je ne prenais pas du Duphaston et que je ne savais pas si je ne prenais pas du Provera. Donc si je me suis demandé quelque chose sur mes questions, je m'en suis rassurée. Il m'a donné du Duphaston à la fin du traitement et j'ai des douleurs au visage, je ne sais pas si cela m'a fait quand même. J'ai des douleurs au niveau de la poitrine, du dos et du bras (et je ne sais pas si cela m'a fait quand même). Je suis en essai bébé et je prends du Provera. Donc si je ne prends pas du Duphaston après la piqûre de médicaments et que je ne sais pas si je prends du Provera, je me demande si cela m'a fait quand même. Il m'a donné du Duphaston à la fin du traitement et j'ai des douleurs au niveau de la poitrine, je ne sais pas si cela m'a fait quand même. Je suis en essai bébé et je prends du Provera. Donc si je ne prends pas du Duphaston après la piqûre de médicaments et que je ne sais pas si je prends du Provera, je me demande si cela m'a fait quand même. Il m'a donné du Duphaston à la fin du traitement et j'ai des douleurs au niveau de la poitrine, je ne sais pas si cela m'a fait quand même. Je suis en essai bébé et je prends du Provera. Donc si je ne prends pas du Duphaston après la piqûre de médicaments et que je ne sais pas si je prends du Provera, je me demande si cela m'a fait quand même. Il m'a donné du Duphaston à la fin du traitement et j'ai des douleurs au niveau de la poitrine, je ne sais pas si cela m'a fait quand même. Il m'a donné du Duphaston à la fin du traitement et j'ai des douleurs au niveau de la poitrine, je ne sais pas si cela m'a fait quand même.
Salut. Je suis un homme de 55 ans qui se souvient de sa maman qui a eu une période de pénurie depuis 10 ans, là où s’est révélé la situation. Je ne peux pas être mère parce que je me souviens qu’en étant maman je suis allée aux toilettes, pas vu le problème. J’ai eu beaucoup de difficultés pour écouter mon mari en toute sécurité, et dans l’autre partie, je n’ai plus la capacité de faire la partie de mes règles. Je n’ai aucun de temps à être en forme, mais il me semble que c’est pour l’instant que j’avais besoin de me lâcher. Je n’ai plus de chance de faire la partie. J’ai fait de la testostérone, j’ai pris du Duphaston et j’ai des cycles anormaux. Et je me suis bien suivie pour faire mon tour. J’ai eu dans un délai plus rapide que mon mari. J’ai pris du Clomid et j’ai eu des réponses avec mes parents. Mais j’ai commencé à prendre du Clomid car j’ai eu de la même fréquence de crises que j’ai eu de mauvaises humeur et de mauvaises habitudes. Mais c’est pour ma part, c’est pour ma part. Je n’ai plus de temps à être en forme. Je suis allée aux toilettes. Je ne veux pas dire qu’elle n’a pas besoin de changer. J’ai pris du Duphaston et j’ai commencé à prendre du Duphaston car je suis en forme. Mon mari m’a pris du Duphaston et j’ai des réponses avec mes parents. Mais il a commencé à prendre du Duphaston car je n’ai aucune idée de faire de la partie et j’ai fait de la testostérone. J’ai commencé à prendre du Clomid car je n’ai aucune idée de faire de la partie et j’ai fait de la testostérone. Je n’ai plus de chance de faire de la partie. Je n’ai aucune idée de faire de la partie. Mon mari m’a commencé à prendre du Duphaston et j’ai commencé à prendre du Clomid car je n’ai aucune idée de faire de la partie et j’ai fait de la testostérone. Mon mari m’a commencé à prendre du Duphaston car je n’ai aucune idée de faire de la partie et j’ai fait de la testostérone. Mon mari m’a commencé à prendre du Clomid car je n’ai aucune idée de faire de la partie et j’ai fait de la testostérone.
Le duphaston est indiqué dans le traitement de règles douloureuses pendant la période prémenstruelle, ainsi que dans les troubles climatériques en général (pendant la ménopause).
Il diminue les symptômes liés à la périménopause et à la ménopause (irritabilité, fatigue) et à certaines pathologies (diabète de type 2, hypertension artérielle, antécédents familiaux d’endométriose, syndrome des ovaires polykystiques).
Il est utilisé pour traiter les troubles menstruels et de l’ovulation en cas de règles douloureuses.
Suivez la prescription de votre médecin concernant les doses et les horaires d’utilisation.
Comme tous les médicaments, ce médicament peut provoquer des effets indésirables, mais ils ne surviennent pas systématiquement chez tout le monde.
En cas d’apparition de réactions allergiques, de douleurs abdominales, de perte de sang, de saignements vaginaux inhabituels, ou de modification de la sensibilité à la lumière vive, veuillez en informer immédiatement votre médecin ou votre pharmacien.
Veillez à toujours prendre ce médicament en suivant exactement les indications de votre médecin ou pharmacien.
Les comprimés de DUPHASTON sont généralement pris 2 fois par jour pendant 3 mois. Si les symptômes persistent plus de 3 mois après l’instauration du traitement, il est préférable de consulter votre médecin.
Ne prenez pas ce médicament si vous prenez un médicament qui contient du millepertuis (Hypericum perforatum) qui contient également de l’astémizole, de la terbinafine ou du triméthoprime. Votre médecin doit vous préciser si vous pouvez prendre DUPHASTON. Pour plus d’informations, consultez la notice.
En raison des risques d’hémorragie du post-partum, les femmes ayant eu une hémorragie du post-partum ou ayant souffert d’une rupture de la membrane amniotique pendant la grossesse ne doivent pas prendre DUPHASTON pendant l’allaitement.
Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le conditionnement extérieur. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.
Ne donnez DUPHASTON qu’à des femmes qui n’utilisent pas ou ne peuvent pas utiliser des méthodes contraceptives hormonales telles que le stérilet, le patch ou l’anneau vaginal.
En cas d’hypersensibilité aux substances actives ou à l’un des excipients mentionnés à la rubrique Composition, ce médicament ne doit pas être pris.
En cas d’apparition de réactions allergiques, de douleurs abdominales, de fatigue ou de troubles menstruels, veuillez en informer votre médecin.
Consultez immédiatement votre médecin ou votre pharmacien si l’un des effets indésirables graves suivants s’est produit lors de l’utilisation de DUPHASTON.
Si vous constatez un effet indésirable nécessitant un traitement médical, prévenez votre médecin ou votre pharmacien.
1. QU'EST-CE QUE DUPHASTON 10 mg, comprimé sécable ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ?
2. QUELLES SONT LES INFORMATIONS A CONNAITRE AVANT DE PRENDRE DUPHASTON 10 mg, comprimé sécable ?
- vous avez déjà éprouvé une réaction allergique au duphaston, aux contraceptifs hormonaux combinés ou à l’un des autres composants contenus dans ce médicament, mentionnés dans la rubrique 6.
Ne prenez pas DUPHASTON 10 mg, comprimé sécable si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, sauf en cas de nécessité absolue.
S’il vous est nécessaire d’utiliser DUPHASTON pendant une longue période, votre médecin vous indiquera quelle dose et quelle fréquence prendre. Ne prenez pas DUPHASTON plus que la dose et la fréquence qui vous ont été prescrites.
Si vous oubliez de prendre DUPHASTON 10 mg, comprimé sécable
Si vous oubliez de prendre DUPHASTON 10 mg, comprimé sécable, ne prenez pas de dose double pour compenser la dose que vous avez oublié de prendre.
Si vous arrêtez de prendre DUPHASTON 10 mg, comprimé sécable
Sans objet.
Conserver à une température ne dépassant pas 25°C.
Troubles de l’humeur
Des modifications de l’humeur, y compris l’irritabilité, la nervosité, la dépression, l’anxiété et la fatigue, peuvent parfois apparaître à la suite d’un traitement par duphaston.
Les troubles de l’humeur surviennent généralement peu après l’instauration d’un traitement par duphaston et disparaissent en général en 3 à 4 mois. Si vous remarquez un tel effet, informez-en votre médecin qui adaptera votre posologie.
Autres effets indésirables
Des effets indésirables fréquents (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 10)
Les effets indésirables fréquents sont les suivants :
Effets indésirables peu fréquents (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 100)
Les effets indésirables peu fréquents sont les suivants :
Effets indésirables rares (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 1 000)
Les effets indésirables rares sont les suivants :
Effets indésirables très rares (pouvant affecter jusqu’à 1 personne sur 10 000)
Les effets indésirables très rares sont les suivants :
Fréquence indéterminée
Il s’agit d’un type très rare d’effets indésirables.
L’hormone de libération des gonadotrophines hypophysaires (également appelée GnRH) est la principale hormone sexuelle chez l’homme et chez la femme.
La production et la libération de la GnRH chez la femme sont régulées par des neurones hypophysaires qui sécrètent un neurotransmetteur appelé GnRH (gonadotrophine hormone de libération).
Les hormones sexuelles, telles que la testostérone, l’œstrogène et la progestérone, sont essentielles pour la fonction sexuelle et reproductive des femmes. La testostérone et l’œstrogène sont les principales hormones sexuelles féminines, tandis que la progestérone et la progestérone sont responsables de la menstruation, de la fertilité et de la fonction sexuelle. Les hormones sexuelles mâles sont l’aldostérone, la dihydrotestostérone et l’hormone de croissance. Toutes ces hormones ont une action sur les cellules du corps et affectent la sécrétion et la libération d’hormones.
L’hormone de libération des gonadotrophines (également connue sous le nom de GnRH), également appelée gonadotrophine, est une hormone naturelle produite dans l’hypophyse des femmes. Elle est principalement responsable de la maturation et du fonctionnement des ovaires chez la femme. Le corps de la femme produit également des gonadotrophines qui stimulent la production de sperme et les hormones sexuelles masculines qui régulent la libido.
La production de GnRH commence dans les ovaires de la femme, où elle commence à se développer et à produire des œstrogènes et des androgènes. La production d’hormones sexuelles féminines se termine lorsque les ovaires cessent de se développer, et la production de testostérone et de progestérone se poursuit jusqu’à la ménopause. À un moment donné de la vie, les ovaires se contractent pour produire des ovocytes (cellules reproductrices) en plus des œstrogènes. Le corps de la femme produit également de l’hormone lutéinisante, qui est une hormone responsable de la production de l’ovocyte en premier.
La testostérone est l’hormone masculine qui est principalement responsable du développement du tissu masculin et du développement de la pilosité faciale masculine. La production de testostérone augmente avec l’âge et la quantité de testostérone disponible dépend du taux de testostérone plasmatique et du taux d’estrogène circulant dans le sang. La testostérone est synthétisée dans les testicules des hommes et les ovaires des femmes. La testostérone est essentielle à la libido, à la fonction sexuelle et à la croissance du tissu masculin.
Le système hypothalamo-pituitaire de la femme est composé de l’hypothalamus et des glandes surrénales chez la femme. Le cerveau de la femme contient des neurones qui produisent de la GnRH. Ces neurones produisent de la GnRH en réponse à la GnRH de la femme.
Les hormones hypophysaires de la femme stimulent la production de GnRH dans l’hypothalamus, qui à son tour stimule la production de GnRH dans les glandes surrénales.
Les hormones sexuelles féminines agissent directement sur l’hypothalamus, en stimulant la sécrétion de GnRH dans les glandes surrénales. Cette hormone a un effet direct sur le cortex cérébral et peut avoir des effets sur le désir sexuel et la fonction sexuelle. Cependant, il est important de noter que la GnRH stimule la libido et le désir sexuel, mais ne provoque pas une baisse des taux de testostérone. La testostérone stimule la production de testostérone et est responsable de la fonction reproductive. De même, l’œstrogène est responsable de la fonction sexuelle féminine.
Les hormones sexuelles masculines, à l’exception de la testostérone, sont principalement responsables du développement des caractéristiques masculines. Le développement des caractéristiques masculines inclut la formation de sperme et la production de spermatozoïdes, ainsi que le maintien des caractéristiques sexuelles secondaires et des caractéristiques sexuelles primaires.
Chez l’homme, la spermatogenèse commence dans les testicules et les ovaires pendant la puberté. La production de sperme commence à augmenter à partir du stade du sperme en érection. Les testicules produisent le sperme qui est expulsé dans le sperme par l’urètre. Le sperme est ensuite transporté vers les glandes prostatiques, où il est stocké pendant une période de 5 à 10 jours. Les testicules commencent à produire de la testostérone à partir de l’âge de 14 ans. La testostérone est responsable de la production de sperme, ainsi que de la croissance du tissu masculin.
Les hormones de croissance sont sécrétées par l’hypophyse de l’homme et les glandes surrénales de la femme. Les hormones de croissance sont produites dans le foie, les tissus musculaires et le tissu adipeux de l’homme et de la femme.
Les hormones de croissance jouent un rôle important dans la croissance du tissu musculaire, la croissance du tissu osseux et la formation des dents, des cheveux et des ongles. Les hormones de croissance sont également importantes dans le développement du système nerveux, en particulier du cerveau. Les hormones de croissance sont également impliquées dans la croissance des organes internes.
Il existe de nombreux produits chimiques qui peuvent affecter la production de l’hormone de libération des gonadotrophines (GnRH) dans le corps. L’hormone de libération des gonadotrophines est produite par l’hypophyse de l’homme et les glandes surrénales de la femme. Les hormones sexuelles féminines sont produites par l’hypothalamus et les glandes surrénales de la femme. Les hormones sexuelles masculines sont produites par l’hypothalamus et les glandes surrénales de l’homme. L’hormone de libération des gonadotrophines est libérée dans le sang par l’hypophyse de la femme et les ovaires de la femme. La GnRH est également libérée dans le sang par l’hypothalamus et les glandes surrénales de l’homme.
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